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Divagation
14 novembre 2010

Ce que veulent les hommes

"Il est toujours bon d'exposer ses révoltes
afin qu'elles ne restent pas à l'état de
frustrations inexprimées, frustrations qui
ne manquent pas, finalement, de sourdre
en prenant des formes violentes et antisociales."

Il est beaucoup trop facile d’accuser les hommes de n’avoir aucun scrupule dans leur recherche du pouvoir et leur envie de contrôler. Comme si les bons sentiments n’étaient que l’apanage du beau sexe. C’est méconnaître profondément les réelles motivations qui animent les hommes, et ce, à travers les siècles.

"Les féministes de base, qui ne se sont jamais penchées sur la psychologie masculine, pense que les hommes sont naturellement avides de statut et de richesses. C'est là une grave erreur, qui procède de leur stupide envie envers la réussite masculine. En vérité (comme l'a noté Tolstoï dans deux passages-clés d'Anna Karénine et de Guerre et Paix) l'homme s'accommode parfaitement du dénuement, et la vie d'homme des bois nomade lui sied autant que celle de PDG qui surfe entre les cabines d'avions, les conseils d'administrations assommants, les maîtresses prédatrices et les pontages coronariens. Si l'homme recherche les statuts et la richesse, c'est pour avoir accès aux femmes, avec lesquelles ils peut échanger ces richesses contre des services sexuels, mais surtout, et c'est beaucoup plus important, contre le droit à la paternité, c'est à dire celui de fonder une lignée et une assurance raisonnable qu'il puisse investir dans l'avenir d'enfants qui sont réellement les siens."

Une société qui se féminise

Il est admis aujourd’hui que la remise en question de la masculinité à de graves répercutions dans l’éducation des jeunes garçons. On nie le fait que les garçons sont plus enclins durant l’enfance à manifester de l’agitation et un moindre intérêt pour le monde des sentiments et de la sensiblerie. Aussi l’on préconise le même type d’éducation pour les deux sexes, ce qui est très néfaste, évidemment, pour les garçons. Cette forme d’éducation repose sur des postulats qui nient la masculinité. Les discours sociaux normalisateurs proposent ainsi une idéologie et des lois cohérentes.

"L'idéologie: elle est fondée sur la déshumanisation des hommes, ce qui entraîne la disparition de leurs droits civiques. On peut invoquer la négation de la paternité ("les femmes et leurs enfants"), les généralisations grossières ("tous les hommes sont des violeurs"), la prolifération des théories biologiques fumeuses sur l'inutilité, l'obsolescence ou l'infériorité supposée du sexe masculin, etc...La rhétorique est simple: il s'agit de définir l'humain comme étant exclusivement le féminin. D'où, entre autres, une attention disproportionnée accordée aux émotions et aux sentiments, au détriment du raisonnement logique et des faits objectifs

Les lois 1. Le pillage légal par l'épouse et par l'État de la majeure partie des biens du mari lors des procédures de divorce, indépendamment de ses circonstances.

2. L'attribution de la garde à la femme dans 90 % des cas, et ceci alors même qu'elle peut avoir commis un adultère, initié le divorce de son propre gré, ou se révéler incapable d'élever les enfants correctement (alcoolisme, etc...)

3. L'emprisonnement des hommes divorcés pour non-paiement de pension alimentaire, même si l'évolution de leur situation financière ne le leur permet pas.

4. Les fausses accusations d'abus sexuel, pour lesquelles un homme est présumé coupable, et qui conduisent généralement à emprisonnement, perte d'emploi, et assignation préventives à résidence.

5. Le fait qu'une femme ayant faussement accusé un homme d'abus sexuel, et ayant ainsi détruit sa vie, n'est généralement pas condamnée à une peine de prison.

6. Les condamnations dérisoires imposées aux femmes pour des crimes aussi graves que le meurtre et le viol sur des mineurs, alors qu'un homme risquerait la prison à vie.

7. La suppression des droits des hommes en matière de reproduction. Une femme peut avorter sans le consentement du père, même en cas d'accord préalable entre le père et la mère pour faire un enfant, et même si cet accord est validé par un contrat. Une femme peut se faire faire un enfant par un homme à son insu, et le forcer à payer pour cet enfant. Une femme peut forcer son mari à subvenir aux besoins d'un enfant même s'il n'en est pas le père. Une femme peut mettre le père de ses enfants à la porte du domicile commun, le forcer à payer une pension importante, et restreindre, voire empêcher, tout contact entre le père et ses enfants."

On soulignera le lien intime entre les lois de Nuremberg et l'idéologie. Si la femme est nécessairement bonne, supérieure, et est le seul exemple valable d'humanité, une femme qui se comporte en tortionnaire ne peut être qu'une aliénée mentale. Sa responsabilité ne saurait donc être engagée, elle mérite au contraire un soutien psychologique pour l'aider à redevenir une femme. Inversement, si les hommes sont des animaux inférieurs et violents, ceux qui commettent des crimes violents doivent finir dans des camps d'internement, tandis que les autres doivent être soumis à une surveillance constante et privés de leurs droits civiques (interdiction de parler à une femme et de la regarder, ce qui est pratiquement le cas aux Etats-Unis).

Par ailleurs, l'idéologie féministe définit "l'abus" et "le crime" sur la base du vécu subjectif de la "victime", non sur les faits objectifs. Un homme peut perdre son emploi pour avoir dit ceci ou cela à une femme, au motif qu'elle le vit comme un "harcèlement". Inversement, une femme peut commettre toutes sortes d'abus sur un homme, puisque, selon l'idéologie féministe, un homme, en tant qu'être inférieur, est dépourvu de vécu affectif. Ce qui explique la prolifération des scènes d'humiliations et de violence envers les hommes dans la quasi-totalité des fictions américaines. Ce culte hystérique de l'affectif conduit bien entendu à une "justice" parfaitement inique, et souvent à la glorification du criminel, pourvu que ce criminel soit une femme "malheureuse"." Zek


Le passé

Dans le passé les hommes ont mis au point des mécanismes sociaux, pas toujours subtiles, pour n’être pas perdant dans leurs relations avec les femmes. C’est parce qu’ils sentaient qu’ils étaient, sur certains points, en position de faiblesse qu’ils ont préféré assujettir les femmes. Je ne crois pas que ce fut de gaieté de cœur ou par méchanceté.

Les hommes étant facilement bernables par les sentiments, les femmes apprirent rapidement à connaître leur faiblesse. "Il est difficile pour les hommes et les femmes de cohabiter dans le même milieu -1-, parce que les hommes sont culturellement -et peut-être biologiquement- conditionnés pour céder aux femmes. Ce que résume le proverbe ce que femme veut, Dieu le veut. Comme les femmes le savent, elles sont naturellement portées à obtenir des hommes des faveurs et des passe-droits par des moyens qui allient à divers degré le chantage sentimental et la séduction."

Ce qui explique dans les sociétés patriarcales et patrilinéaires le rôle de chien de garde qui est imparti à la belle mère, la mère de l’époux, qui surveille incessamment les faits et gestes de sa belle fille, pour qu’elle ne ridiculise pas son fils en ramenant une portée étrangère à la maison. Ce qui se justifie aisément au niveau de la femme, car vaut mieux avoir deux où plusieurs géniteurs au cas ou le principal viendrait à déchoir et à ne plus pouvoir assumer la survie de la famille.
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1- "C'est pour cette raison également que les hommes ont toujours cherché à éviter la compagnie des femmes hors des arènes réservées aux rituels sexuels et du ménage, où de toute éternité la femme a imposé sa volonté au mari -- d'où l'inanité hypocrite du mouvement totalitaire sur le partage des tâches, qui ne peut que réduire l'homme au statut de larbin, puisque sa femme ne tolérera pas de lui confier de réelles responsabilités domestiques et sera constamment dans son dos pour inspecter la qualité de son travail et lui donner des instructions. Les hommes se sont ainsi protégés des femmes en se retranchant dans des clubs masculins, en reléguant les femmes aux tâches subalternes dans les entreprises, etc. Bien entendu cette situation n'a perduré que parce que les femmes l'autorisaient, s'estimant contentes de régner sans partage sur la sphère domestique et sur l’accès privilégié aux enfants et aux ressources matérielles, tandis que les hommes se battaient pour conquérir le statut et la réussite sociale, pour in fine alimenter le système de production des biens et services essentiellement destinés aux femmes.

Dès lors que les femmes ont décidé de s'immiscer dans la vie des hommes, elles ont obtenu d'eux tout ce qu'elles voulaient. A cet égard, il n'y a rien de plus fascinant que le succès dévastateur du mouvement féministe. Des personnes dont l'intolérance n'avait d'égal que la médiocrité intellectuelle ont conquis des positions importantes uniquement parce qu'elles l'exigeaient et parce qu'elles étaient des femmes."

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Commentaires
C
Je ne suis pas sure d'aprécier le ton du texte, car si l'analise n'est pas sans fondements, cela reste machiste
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